Jacques Galinier

 
Directeur de recherche
émérite
Jacques Galinier
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Domaines de recherche

Mexique

Parcours universitaire et professionnel

Travail au Mexique chez les Otomi

Terrains

Mexique

  • Oct. 2022 (5 semaines)
    Systèmes chamaniques et métaphysiques indigènes en Mésoamérique. A propos de la réflexivité et des constructions conceptuelles chez les Indiens otomi de la Sierra Madre orientale
    lien vers l'article
Galinier, J., 2016, La mitad del mundo – Cuerpo y cosmos en los rituales otomíes (México, Universidad Nacional Autonoma de México/Centro de Estudios Mexicanos y Centroamericanos/Universidad Intercultural del Estado de Hidalgo).
Molinié, A. et J. Galinier, 2013, Los neo-indios. Una religión del tercer milenio (Quito, Abya Yala).
Galinier, J. et A. Molinié, 2013, The Neo-Indians. A religion for the Third Millenium (Boulder, University Press of Colorado).
Monod Becquelin, Aurore et Jacques Galinier (éds), 2020, Alors vint la nuit…: terrains, méthodes, perspectives (Nanterre, Laboratoire d’ethnologie et de sociologie comparative) [Ateliers d’anthropologie, 48].
Au cours des deux dernières décennies, le séminaire « Anthropologie de la nuit » du Laboratoire d’ethnologie et de sociologie comparative s’est donné pour tâche d’inscrire la nuit comme un domaine de recherche de plein droit, appuyé par de nombreuses ethnographies dans des terrains proches ou lointains et dont le traitement repose sur une visée pluridisciplinaire et comparatiste à l’échelle des sciences humaines. Ce numéro d’Ateliers d’anthropologie réunit quelques contributions récentes de chercheurs sollicités pour interroger et analyser les nuits de leur terrain : terrains aussi lointains que l’arctique canadien et la Mésoamérique, ou territoires proches alimentant la recherche historique comme la sociologie des faits contemporains. Mais comment comparer la pensée inuit qui coud la continuité entre nuit et jour et obscurité et lumière ; le vécu nocturne des femmes dans un univers carcéral ; les nuits mésoaméricaines peuplées d’entités menaçantes ; les nuits qui s’écrivent avec des glyphes et les œuvres qui se jouent dans les théâtres du XVIIe siècle ; les cieux étoilés révélés à leurs fervents adeptes tandis qu’ils sont dérobés aux urbains surexposés à la pollution lumineuse ? Le concept de nocturnité, utilisé par les historiens de la nuit, est un outil qui nous permet d’analyser à la fois les frontières emic de la nuit et du jour, mais également tous les éléments de la nuit qui pénètrent la vie psychique diurne. Le passage d’un imaginaire nocturne vers un monde diurne engage un déplacement progressif des ontologies « lorsque vient la nuit ». De là de nombreuses questions sur la notion de frontière : quelle est la nature de ces déplacements statutaires des êtres et des objets, qui peuvent selon les temps et les cultures constituer des phénomènes de connexion et de continuité, ou de basculement et de rupture ? Comment analyser cette ethnographie du « passage », tantôt inscrivant une opposition entre des mondes complémentaires en rupture l’un avec l’autre, tantôt marquant une continuité par une porosité explicite, ou encore privilégiant des espaces-temps intermédiaires rituellement mesurés ? À partir des croyances et des dispositifs culturels de gestion de la nuit, comment comprendre les ajustements de ce que la nuit transforme et de ce qui transforme la nuit ? Nous posons ici de nouvelles questions sur ce qui en fait un véritable acteur, un « agent très spécial » à l’entrecroisement des dynamiques politiques, économiques et culturelles sous-tendues par une « pensée de la nuit ».
Monod Becquelin, Aurore et Jacques Galinier (éds), 2016, Las cosas de la noche: una mirada diferente (México, Centro de estudios mexicanos y centroamericanos).
La noche es, sin duda, alguna uno de los temas más prometedores de la antropología del nuevo milenio sobre el cual se implanta desde ahora una pléyade de coloquios, tesis e investigaciones de campo. Si la noche fue por largo tiempo el punto ciego de nuestra disciplina es porque la mirada, los hábitos y la experiencia del Occidente sobre esta otra mitad de nuestra existencia parecía racional y universal, mientras que aquellos de los Otros, exóticos del espacio y del tiempo, no solamente parecían sorprendentes e incomprensibles, sino además locamente irracionales. De hecho, tenemos el hábito de pensar y de vivir un cierto número de alternancias que nos parecen evidentes o naturales: claridad diurna/oscuridad nocturna, vigilia/sueño, actividad/descanso, seguridad/peligro. Nos es difícil convencernos de que otras sociedades no las conciban así y no las vivan del mismo modo. Las fronteras entre estos fenómenos impuestos, percibidos, vividos, comunes a los humanos, constituyen precisamente el campo de las culturas que crean, modifican, dedican un espacio intermedio propicio al despliegue y al imaginario de las reglas del consciente y de las pulsiones del inconsciente. A pesar de que han concedido un crédito constante a los eventos excepcionales que apuntalan el tiempo nocturno, tales como los rituales de iniciación, de hechicería, las sesiones chamánicas, los velorios fúnebres o el culto a los ancestros, los etnólogos no habían dado hasta la época reciente una suficiente atención a las prácticas del cotidiano nocturno, a las rutinas del tiempo consagrado o robado al sueño. Desde ahora, incumbe pintar la infinita diversidad de las maneras de tratar la noche y la complejidad de los modos de actuar, de trabajar, de defenderse, de distraerse, todo el campo de los posibles que le es aferente, y que el concepto de nocturnidad permite abordar para expresar que la noche no es el reverso del día sino otro continente con sus propias dificultades, alumbradas por modelos…
Cavignac, J. et J. Galinier, 2022, La tête dans le sac, Ateliers d’anthropologie, en ligne : http://journals.openedition.org/ateliers/16474.
Galinier, J. et A. Monod Becquelin, 2020, Introduction, Ateliers d’anthropologie, 48 [And then came the night…], en ligne : http://journals.openedition.org/ateliers/13677.
Galinier, J. et A. Monod Becquelin, 2020, Introduction, Ateliers d’anthropologie, 48 [Alors vint la nuit…], en ligne : http://journals.openedition.org/ateliers/13400.
Parmi les sciences humaines, l’anthropologie a pour vocation d’étudier le lointain pour s’en approcher et le proche pour s’en éloigner. Or nul domaine plus que celui de la nuit ne se prête autant à ce double exercice tant notre regard, nos habitudes et notre vécu nous semblent universels et rationnels, tandis que ceux des autres, exotiques dans l’espace ou dans le temps, paraissent étonnants voire déroutants. Le comparatisme est de rigueur : cosmique, sociologique et culturel. Il faut compren...
Galinier, J., 2020, L’inframonde au zénith. Destin nocturne des objets domestiques et cosmologie dans les rituels mortuaires otomi, Ateliers d’anthropologie, 48 [Alors vint la nuit…], en ligne : http://journals.openedition.org/ateliers/13576.
Les Otomi du Mexique inscrivent de manière différenciée dans le champ du nycthémère tant le statut spécifique des objets matériels que l’ontologie propre à chaque être humain. Statiques le jour, les artefacts domestiques subissent la nuit des métamorphoses, et se voient attribuer une agentivité semblable à celle des humains, lesquels peuvent adopter à leur tour durant cette séquence le statut d’objets, ou d’animaux prédateurs. Ces changements statutaires prennent fin aux premières heures du jour. On décrira de quelle manière l’ensauvagement du monde des objets, dans le noir, va de pair avec la construction de dispositifs rituels dans lesquels les défunts effectuent un retour cyclique dans les épisodes « nocturnes » du jour, lorsque le soleil atteint le zénith.
Galinier, J., 2019, Una contienda asimétrica: Zithû, sepulturero otomí de la teoría antropológica, Dimensión Antropológica, 75 : 7-19, en ligne : https://revistas.inah.gob.mx/index.php/dimension/article/view/14952.
Se plantea aquí un problema recurrente en la investigación de campo entre los pueblos de tradición otomí: las dificultades del observador para afirmar una autoridad monológica, para formular propuestas aceptables ante el gremio académico, puesto que la doxa nativa considera que todo el espacio interaccional se halla bajo la custodia del Diablo (Zithû). La teoría antropológica es una construcción que procede por eliminación para poder elaborar un modelo, el cual no puede tolerar excepciones... si no se desbarata. El Diablo otomí deconstruye cualquier "buena" teoría mediante su nzahki, fuerza exterior e interior al hombre que representa un componente lábil y activo, el cual parasita los pensamientos y los actos. No se puede concebir, en términos otomíes, una función cognoscitiva estable, ajena a los actos de Zithû, quien se burla de las clasificaciones y constantemente genera juicios de verdad contradictorios, que representan un desafío casi insuperable para la interpretación del investigador.
Galinier, J., 2017, Geopolitica del inframundo. Determinismo y causalidad síquica entre los ancestros otomíes, Anales de Antropología, 51 (1) : 2-10, en ligne : http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0185122516300352.
Resumen En este artículo se tratará de contemplar la geopolítica de los ancestros otomíes en el sur de la Huasteca, es decir, cómo gestionan la violencia colectiva endémica a la vez en el inframundo y en su relación con los vivos. A partir de la doxa chamánica —consolidada por un abundante material iconográfico (los "ídolos")— se puede desencriptar la concepción nativa de los mecanismos cognoscitivos productores de las cosmovisiones locales, examinando cómo se efectúan los encadenamientos entre procesos neurofisiológicos e imágenes mentales. En una palabra, cómo el destino de las representaciones culturales (las recogidas por el antropólogo a través de un largo proceso de transferencia y contratransferencia) se negocia a través del modus operandi de la causalidad síquica, lo que en términos otomíes remite a la omnipresencia de nzahki, la fuerza universal. Un proceso dinámico que permite la distribución de las imágenes mentales y responsable, en última instancia, de la articulación compleja entre perceptos, afectos y conceptos. Aclara al mismo tiempo la concepción otomí del determinismo y de los límites de la libertad de los humanos. Abstract This article will examine the geopolitics of the Otomi ancestors in the south of the Huasteca region of Mexico, more precisely, how they manage simultaneously the collective endemic violence that prevails in the underworld and that also constitutes part of their relationship with the living. Based on shamanic doxa supported by abundant iconographic material (the "idols"), it is possible to decrypt the native conception of cognitive mechanisms responsible for the production of local worldviews, by examining how links are established between neurophysiological processes and mental images. Or, put more succinctly, how the destiny of cultural representations (i.e. those collected by the anthropologist through an extensive process of transference and counter transference) is being negotiated through the modus operandi of psychic causality which, in Otomi terms, refers to the omnipresence of nzahki, the universal force. This force acts as a dynamic process that makes possible the distribution of mental images and is responsible, in final analysis, for the complex articulation between percepts, affects and concepts. At the same time, it sheds light upon how the Otomi people conceptualise determinism and the limits of freedom experienced by humans.
Galinier, J. et D. Dehouve, 2017, Caceria, sacrificio y poder en Mesoamérica. Tras las huellas de Mixcoatl "Serpiente Nube", Journal de la Société des américanistes, 103 (2) : 267-270.
Galinier, J. et D. Dehouve, 2017, Antropologia de lo nefasto en comunidades indigenas, Journal de la Société des américanistes, 103 (2) : 259-261.
Monod Becquelin, A. et J. Galinier, 2015, De mille et une nuits. Interroger la nocturnité, Journal des anciens élèves de l’ENA, 453 (juillet-août) [Voyages au bout de la nuit].
Galinier, J., 2012, Penser avec les dents, L’Homme, 203-204 : 265-289, en ligne : https://lhomme.revues.org/23183.
RésuméLa spectaculaire exhumation en 2006 d’un monolithe d’andésite de douze tonnes représentant Tlaltecuhtli, divinité de la terre, sur le site du Templo Mayor (ville de Mexico), sera le point de départ d’une interrogation sur les intrications entre motions du psychisme et productions culturelles dans les sociétés du Mexique ancien et actuel. À l’aune du concept de sublimation, on examinera une série de paradoxes et, en particulier, comment la logique sacrificielle s’ajuste à celle de la spiritualité indigène, jusque dans l’art de « penser avec les dents », acte originaire par excellence, délivré de tout affect.
Galinier, J., 2020, Cuerpos sin cuerpo. Ficciones ideológicas y sustitutos anatómicos virtuales en el mundo otomí oriental, Cuerpo y persona. Aportes antropológicos en México, El Salvador y Venezuela (Mexico, Secretaría de Cultura, Instituto Nacional de Antropología e Historia) : 229-247.
Galinier, J., 2020, Prólogo, El cuerpo, el alma, la palabra. Medicina nahua en la Sierra de Texcoco (Mexico, Artes de México) : 9-13.
Galinier, J., 2019, Ontologías reversibles. Las "brujas" y las formas elementales de la depredación entre los otomíes del México oriental, Sinestesias. Brujería y hechicería en el mundo hispánico (Quito/Toledo, Abya Yala/SHIPS, UCML, Diputación de Toledo) : 365-390.
Galinier, J., 2019, Cosmologías infantiles. Entendimiento y formas a priori de la sensibilidad entre los niños otomíes (sur de la Huasteca), Espacios de cultura otopame, homenaje a Javier Romero Quiroz (Mexico, Universidad Autónoma de México, Instituto Humboldt de Investigaciones Interdisciplinarias en Humanidades AC) : 95-101.
Galinier, J., 2019, Prólogo, Puxk’uai. Un ser de la oscuridad en la cosmovisión otomí (Mexico, Navarra) : 15-23.
Galinier, J., 2019, Identità nucleare, identità periferiche. Nuove alternative dell’auto-presentazione tra gli Otomi contemporanei, Protagonisti e Dinamiche dell’identità étnica in Messico (Rome, Centro d’Informazione e Stampa Universitaria) : 121-136.
Galinier, J., 2019, In Praesentia, in absentia. Reflexión sobre la invisibilidad de lo social entre los otomíes orientales, Memoria, territorio e identidad. Nuevos aportes sobre otopames en homenaje a Ana María Crespo y Philip W. Powell (Querétaro, Universidad Autónoma de Querétaro) : 23-34.
Galinier, J., 2018, Postface, Écrits. Manuscrits à miniatures otomí (Nanterre, Société d’ethnologie) : 307-318.
Galinier, J., 2017, Signos coalescentes, Suturas del cuerpo-mundo en el panteón otomí oriental, Del saber ha hecho su razón de ser. Homenaje a Alfredo López Austín (México, INAH-Secretaria de Cultura/IIA-Universidad Nacional Autónoma de México) : 335-345.
Galinier, J., 2017, Dispersión y coalescencia. Refracción del Carnaval en el espacio ritual mesoamericano, Tiempo, transgresión y ruptura. El carnaval indigena (México, Universidad Nacional Autónoma de México) : 64-71.
Galinier, J. et P. Gallardo Arias, 2016, El don de desencriptar. Praxis y memoria entre los chamanes otomíes orientales, El poder del saber: especialistas rituales de México y Guatemala (México, Centro de estudios mexicanos y centroamericanos) : 39-46.
Monod Becquelin, A. et J. Galinier, 2016, Una mirada diferente, Las cosas de la noche: una mirada diferente (México, Centro de estudios mexicanos y centroamericanos) : 5-6.
Galinier, J., 2016, Un pensamiento de la noche – El dualismo crítico de los otomíes contemporáneos, Las cosas de la noche: una mirada diferente (México, Centro de estudios mexicanos y centroamericanos) : 39-46.
La noche es, sin duda, alguna uno de los temas más prometedores de la antropología del nuevo milenio sobre el cual se implanta desde ahora una pléyade de coloquios, tesis e investigaciones de campo. Si la noche fue por largo tiempo el punto ciego de nuestra disciplina es porque la mirada, los hábitos y la experiencia del Occidente sobre esta otra mitad de nuestra existencia parecía racional y universal, mientras que aquellos de los Otros, exóticos del espacio y del tiempo, no solamente parecían sorprendentes e incomprensibles, sino además locamente irracionales. De hecho, tenemos el hábito de pensar y de vivir un cierto número de alternancias que nos parecen evidentes o naturales: claridad diurna/oscuridad nocturna, vigilia/sueño, actividad/descanso, seguridad/peligro. Nos es difícil convencernos de que otras sociedades no las conciban así y no las vivan del mismo modo. Las fronteras entre estos fenómenos impuestos, percibidos, vividos, comunes a los humanos, constituyen precisamente el campo de las culturas que crean, modifican, dedican un espacio intermedio propicio al despliegue y al imaginario de las reglas del consciente y de las pulsiones del inconsciente. A pesar de que han concedido un crédito constante a los eventos excepcionales que apuntalan el tiempo nocturno, tales como los rituales de iniciación, de hechicería, las sesiones chamánicas, los velorios fúnebres o el culto a los ancestros, los etnólogos no habían dado hasta la época reciente una suficiente atención a las prácticas del cotidiano nocturno, a las rutinas del tiempo consagrado o robado al sueño. Desde ahora, incumbe pintar la infinita diversidad de las maneras de tratar la noche y la complejidad de los modos de actuar, de trabajar, de defenderse, de distraerse, todo el campo de los posibles que le es aferente, y que el concepto de nocturnidad permite abordar para expresar que la noche no es el reverso del día sino otro continente con sus propias dificultades, alumbradas por modelos…
Monod Becquelin, A. et J. Galinier, 2016, Prólogo, Las cosas de la noche: una mirada diferente (México, Centro de estudios mexicanos y centroamericanos) : 7-16.
Galinier, J., 2015, Préface, Montrer, occulter: visibilité et contextes rituels (Paris, Herne) : 9-15.
Galinier, J., 2015, Preface, Beyond darkness and sleep: the Inuit night in North Baffin Island (Louvain, Peeters) : 19-21.
Galinier, J., 2014, Prefacio, Sonata ritual. Cuerpo, cosmos y envidia en la Huasteca meridonial (Mexico, Instituto Nacional de Antropología e Historia) : 9-15.
Galinier, J., 2013, Endo y exochamanismo en México – Doctrinas en disputa alrededor de la espiritualidad étnica, Variaciones y apropiaciones latinoamericanas del New Age (Mexico, Publicaciones de la Casa Chata) : 105-116.
Galinier, J., 2013, Préface, La famillie otomí-pame du Mexique central (Mexico, Centro de Estudios Mexicanos y Centroamericanos, Fondo de Cultura Económica) : 1-5.
Galinier, J., 2013, Ser otomí - Una clave etnográfica, Ritualidad e interculturalidad otopame, hommage á Carlo Antonio Castro Guevara et Roberto Williams García (Veracruz, Editora de Gobierno del Estado de Veracruz, Universidad Veracruzana) : 21-32.
Galinier, J., 2012, Equilibrio y desequilibrio en el cosmos - Concepciones de los otomíes orientales, Los pueblos indígenas de Hidalgo. Atlas etnográfico (s.l., Gobierno del Estado de Hidalgo, Instituto Nacional de Antropología e Historia) : 369-379.
Erikson, P., J. Galinier et A. Molinié, 2002, Studiile americaniste, Etnologie, Concepte şi arii culturale (Timişoara, Editora Amarcord) : 193-225.
capitolul 10. Traducere de Margareta Gyurcsik
Erikson, P., J. Galinier et A. Molinié-Fioravanti, 2001, Les études américanistes, Ethnologie : concepts et aires culturelles (Paris, Armand Colin) : 203-237.
chapitre 10 d'un ouvrage d'introduction à l'ethnologie
Galinier, J. et C.-H. Pradelles De Latour, 2017, Compte rendu de: Perig Pitrou, Le chemin et le champ chez les Mixes de Oaxaca (Nanterre, Société d’ethnologie, 2016), Journal de la Société des américanistes, 103 (2) : 259-261.
Galinier, J. et J. Maffie, 2015, Compte rendu de: James Maffie, Aztec Philosophy. Understanding a world in motion (Boulder, University Press of Colorado, 2014), L’Homme, 213 : 191-196.
Galinier, J. et C.-H. Pradelles De Latour, 2015, Compte rendu de: Charles-Henry Pradelles de Latour, La dette symbolique. Thérapies traditionnelles et psychanalyse (Paris, Epel, 2014), L’Homme, 213 : 171-174.
Galinier, J., 2014, Compte rendu de: Frederic C. Beiser, The German Historicist Tradition (Oxford, Oxford University Press, 2011), L’Homme, 209 : 176-179.
Galinier, J., 2013, Compte rendu de: Claude François Baudez, La douleur rédemptrice - L’autosacrifice précolombien (Paris, Riveneuve, 2012), L’Homme, 206 : 213-215.
Monod Becquelin, A. et J. Galinier, 2015, « Organisation », colloque "La nuit se lève", 7 Spirits, Paris.
Galinier, J., 2017, « El diablo como antropólogo - Competencias epistémicas y ritual entre los indios otomíes(México) », XIII Conferencia Internacional de Antropologia, La Havane, Cuba.
Galinier, J., 2017, « Una contienda asimétrica - Zithû, sepulturero otomí de la teoría antropológica », XVIII Coloquio Internacional de Otopames, México, Mexique.
Galinier, J., 2016, « Cosmologías infantiles - Entendimiento y formas a priori de la sensibilidad entre los niños otomíes(sur de la Huasteca) », XVIII Coloquio Internacional de Otopames, Toluca, Méxique.
Galinier, J., 2015, « In praesentia, in absentia. Reflexión sobre la invisibilidad de lo social entre los otomíes orientales », XVII Coloquio Internacional de Otopames, Querétaro, Mexique.
Galinier, J., 2014, « El Diablo otomí como sistema de relaciones – Una aproximación sociológica », XVI Coloquio Internacional de Otopames, México.
Galinier, J., 2013, « Limes y proscenium – Elementos para entender el ritual otomí », XV Coloquio Internacional de Otopames, San Felipe del Progreso, Mexique.
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