Emmanuelle Seguin

 
Chargée de création et de communication
Emmanuelle Seguin
...

Parcours universitaire et professionnel

Recrutée au CNRS en 2015 et au Lesc en 2020, Emmanuelle propose et conçoit des outils de communication interne et/ou externe adaptés aux différents publics, afin de valoriser le domaine de l’anthropologie et l’activité du laboratoire.

Ainsi, elle conseille les chercheurs en matière de communication et réalise l'ensemble des supports de communication :
• Affiches
• Programmes
• Logos
• Motion design
• Illustrations
• Cartographies
...

Elle assure également la mise en forme des contenus du site Internet et veille à son bon fonctionnement.

Responsable du profil twitter, elle utilise cet outil pour communiquer sur les évènements extérieurs au Lesc et valoriser les projets du laboratoire.

Emmanuelle collabore également avec des structures partenaires comme la Société d'ethnologie, la MSH et l'InSHS.
Elle est membre de la cellule d'action directe du projet de l'INSHS "L'anthropologie en partage" visant à offrir plus de visibilité aux recherches en anthropologie et à donner à voir la diversité des approches et des travaux qui font la richesse de cette discipline.

Seguin, E., 2024, Anthropologues ! (Paris, CNRS Editions).
L’anthropologie est peut-être la plus humaine des sciences, puisqu’elle dépend intimement de la personne qui mène la recherche. L’anthropologue construit de façon particulière ses relations aux gens qu’il ou elle rencontre sur le terrain, avec lesquels il ou elle discute et vit parfois, pour comprendre de l’intérieur le fonctionnement de leur société. Chaque recherche pose un regard et propose une analyse sensible sur les matériaux recueillis en enquête. Pour autant, l’anthropologie reste une science, fondée sur des méthodes précises : l’observation, la collecte puis l’analyse de données, sur une grande variété de thématiques et dans une grande diversité de contextes. Elle se pratique en immersion ou non, dans un milieu naturel ou urbain, dans un environnement familier ou étranger, au sein de sa propre société ou très loin, sans références évidentes ni expériences communes. Cette bande dessinée présente 17 recherches incarnées : ici, on s’intéressera aux modistes parisiennes, là aux tatoueurs samoans, ailleurs à un gang portoricain de New York ou à des chasseurs de fantômes britanniques… Une plongée au cœur d’une discipline de terrain.
Seguin, E. et F. Fogel, 2023, « Raconter et valoriser les anthropologues au travail. Le projet BD d’Anthropologie en partage », journée d’étude « Observer et restituer les corps (de métiers) au travail en anthropologie : nouvelles écritures », CNRS - Site Pouchet - Paris.
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